Source : https://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Utopies_et_utopistes-9782707199607.html
Utopies et utopistes - Thierry PAQUOT
C’est avec la publication de L’Utopie de Thomas More en 1516 que le mot se répand et que naît un genre littéraire associant critique sociale et description d’une « société heureuse ». L’utopie n’est pas une anticipation, mais un présent qui mise sur le bonheur, l’équité, l’abondance et le respect de chacun.
Thierry Paquot explore diverses utopies écrites ou expérimentées qui se sont succédé depuis le XVIe siècle, en privilégiant certains thèmes : le travail et les loisirs, l’éducation, la famille et les relations amoureuses, la ville et l’architecture. L’utopie s’enrichit au XIXe siècle de l’uchronie, puis de la science-fiction, pour proposer de nouvelles alternatives à la « société de consommation ».
L’utopie contient le pire et le meilleur, elle se révèle parfois autoritaire, totalitaire, culpabilisatrice, triste et uniformisante, tout comme elle peut favoriser le déploiement des désirs, démultiplier les plaisirs, répondre joyeusement aux attentes de ses membres. Ce sont ces paradoxes qu’analyse cet ouvrage documenté à l’écriture directe et passionnée, en s’attardant sur les œuvres de Thomas More, Francis Bacon, Fénelon, Diderot, Sébastien Mercier, Robert Owen, Saint-Simon, Charles Fourier, Edward Bellamy, William Morris et quelques autres « sublimes rêveurs ».
Utopies et utopistes - Thierry PAQUOT
C’est avec la publication de L’Utopie de Thomas More en 1516 que le mot se répand et que naît un genre littéraire associant critique sociale et description d’une « société heureuse ». L’utopie n’est pas une anticipation, mais un présent qui mise sur le bonheur, l’équité, l’abondance et le respect de chacun.
Thierry Paquot explore diverses utopies écrites ou expérimentées qui se sont succédé depuis le XVIe siècle, en privilégiant certains thèmes : le travail et les loisirs, l’éducation, la famille et les relations amoureuses, la ville et l’architecture. L’utopie s’enrichit au XIXe siècle de l’uchronie, puis de la science-fiction, pour proposer de nouvelles alternatives à la « société de consommation ».
L’utopie contient le pire et le meilleur, elle se révèle parfois autoritaire, totalitaire, culpabilisatrice, triste et uniformisante, tout comme elle peut favoriser le déploiement des désirs, démultiplier les plaisirs, répondre joyeusement aux attentes de ses membres. Ce sont ces paradoxes qu’analyse cet ouvrage documenté à l’écriture directe et passionnée, en s’attardant sur les œuvres de Thomas More, Francis Bacon, Fénelon, Diderot, Sébastien Mercier, Robert Owen, Saint-Simon, Charles Fourier, Edward Bellamy, William Morris et quelques autres « sublimes rêveurs ».
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