Source : https://reporterre.net/Un-road-trip-philosophique-a-la-decouverte-de-l-ecofeminisme
Dans « Être écoféministe — Théories et pratiques », Jeanne Burgart Goutal restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de quarante ans en alternant reportage et analyse.
Rompant avec une approche chic et apolitique aujourd’hui en vogue, ce livre restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de quarante ans : critique radicale du capitalisme et de la technoscience, redécouverte des sagesses et savoir-faire traditionnels, réappropriation par les femmes de leur corps, apprentissage d’un rapport intime au cosmos…
Dans ce road trip philosophique alternant reportage et analyse, l’auteure nous emmène sur les pas des écoféministes, depuis les Cévennes où certaines tentent l’aventure de la vie en autonomie, jusqu’au nord de l’Inde, chez la star du mouvement Vandana Shiva. Elle révèle aussi les ambiguïtés de ce courant, où se croisent Occidentaux en quête d’alternatives sociales et de transformations personnelles, ONG poursuivant leurs propres stratégies commerciales et politiques, et luttes concrètes de femmes et de communautés indigènes dans les pays du Sud.
Jeanne Burgart Goutal est agrégée de philosophie et professeure de yoga, elle mène depuis près de dix ans une recherche sur l’écoféminisme, mêlant approche théorique et vécue. Elle est l’auteure de plusieurs textes de référence sur le sujet, notamment dans Féminismes du XXIe siècle (PUR, 2017) et dans le Dictionnaire des féministes (PUF, 2017).
Être écoféministe — Théories et pratiques, de Jeanne Burgart Goutal, aux éditions L’Echappée, 2020, 320 p., 20 euros.
Dans « Être écoféministe — Théories et pratiques », Jeanne Burgart Goutal restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de quarante ans en alternant reportage et analyse.
Présentation du livre par son éditeur :
Oppression des femmes et destruction de la nature seraient deux facettes indissociables d’un modèle de civilisation qu’il faudrait dépasser : telle est la perspective centrale de l’écoféminisme. Mais derrière ce terme se déploie une grande variété de pensées et de pratiques militantes.Rompant avec une approche chic et apolitique aujourd’hui en vogue, ce livre restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de quarante ans : critique radicale du capitalisme et de la technoscience, redécouverte des sagesses et savoir-faire traditionnels, réappropriation par les femmes de leur corps, apprentissage d’un rapport intime au cosmos…
Dans ce road trip philosophique alternant reportage et analyse, l’auteure nous emmène sur les pas des écoféministes, depuis les Cévennes où certaines tentent l’aventure de la vie en autonomie, jusqu’au nord de l’Inde, chez la star du mouvement Vandana Shiva. Elle révèle aussi les ambiguïtés de ce courant, où se croisent Occidentaux en quête d’alternatives sociales et de transformations personnelles, ONG poursuivant leurs propres stratégies commerciales et politiques, et luttes concrètes de femmes et de communautés indigènes dans les pays du Sud.
Jeanne Burgart Goutal est agrégée de philosophie et professeure de yoga, elle mène depuis près de dix ans une recherche sur l’écoféminisme, mêlant approche théorique et vécue. Elle est l’auteure de plusieurs textes de référence sur le sujet, notamment dans Féminismes du XXIe siècle (PUR, 2017) et dans le Dictionnaire des féministes (PUF, 2017).
Être écoféministe — Théories et pratiques, de Jeanne Burgart Goutal, aux éditions L’Echappée, 2020, 320 p., 20 euros.
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