Privilèges, sexualités, masculinité toxique

Des post-it "Privilèges"

 Source : https://www.facebook.com/lempecheuse/















Série Libres!

Source : https://www.arte.tv/fr/videos/094356-004-A/libres/

Stop aux diktats sexuels ! Ovidie et Sophie-Marie Larrouy déconstruisent les idées reçues et proposent de faire ce qu’on veut, comme on veut, uniquement si on veut. Dans cet épisode : les règles constituent un des grands tabous de notre société, à tel point qu’on planque encore nos Tampax. D’après la bande-dessinée « Libres ! Manifeste pour s'affranchir des diktats sexuels » de Ovidie et  Diglee  - Editions Delcourt, collection Tapas.


Un livre : Le coût de la virilité - Lucile PEYTAVIN

Source : http://anne-carriere.fr/ouvrage_le-cout-de-la-virilite-lucile-peytavin-424.html


 En France, les hommes sont responsables de l’écrasante majorité des comportements asociaux :
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par
la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence.
Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêts à nous comporter… comme les femmes ?!

 

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