Issus des Grandes écoles, de jeunes élites fraîchement diplômées, n’hésitent plus à se révolter contre un système qu’ils jugent dépassé, voir irresponsable face aux enjeux planétaires.
Formés à Centrale, Polytechnique, HEC, l’École des Mines, Sciences Po, AgroParisTech..., ils font partie de ceux que l'on présente comme "les futurs cadres de la Nation". Mais dans le contexte de réchauffement climatique et d’extinction de masse, ils se sentent en dissonance, en contradiction avec leurs valeurs, leurs idées et la morale. Et certains choisissent de rompre avec le système 'bien huilé' de ces promotions de jeunes élites.
Regard, ce soir, sur ces rebelles surdiplômés, prêts à renoncer à un avenir doré pour le bien de la planète, et sur les raisons de ce phénomène en cours.
Avec, Marine Miller, journaliste au Monde, spécialiste des questions de jeunesse et d'éducation, auteur du livre « La révolte. Enquête sur les jeunes élites face au défi écologique », paru au Seuil; Aurélie Moy, 27 ans, diplômée de l'Ecole Polytechnique avec une spécialisation d'ingénieur environnemental. Fondatrice du Ty Village et co-fondatrice de ‘vingt et un vingt deux’, une agence de redirection écologique. Et avec Clément Choisne, ingénieur de 27 ans formé à Centrale Nantes, et qui se dit "en périple vers la décroissance".
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