Trashing. Le côté obscur de la sororité - Jo Freeman 1976

J'y lis la description d'un exemple intense lié au phénomène du radicalisme rigide décrit dans le livre "Joie militante" : retourner vers l'intérieur d'un groupe, vers les autres, vers soi, la colère que l'on n'arrive pas à faire déboucher à l'extérieur, vers ce qui nous opprime. Ici accentué par les conditionnements de genre intériorisés et socialisés autour de la valeur, de la compétition, des codes masculins/féminins...


Source : https://infokiosques.net/IMG/pdf/trashing-pageparpage.pdf

Cet article est une critique des phénomènes de trashing dans le
Mouvement féministe des années 70. Il a été écrit pour le magazine
Ms. et publié dans le numéro d'avril 1976, pp. 49-51, 92-98, sous le
pseudonyme de Joreen. Il a entraîné plus de lettres de lecteur·ices
que n'importe quel article précédemment publié dans Ms., tous sauf
quelques-uns racontant leurs propres expériences de trashing.

Mis en page et traduit par Elsa Deck Marsault et le collectif Fracas :
collectif.fracas@gmail.com


Trashed : être évincé·e, socialement jeté·e à la poubelle, être
fortement critiqué·e ou voir sa réputation ruinée, être diffamé·e.
 

Trashing : phénomène d’abattage, de diffamation, de démolition
sociale.


Commentaires