Source : Papapositive.fr > Source : www.eurekalert.org/pub_releases/2009-01/s-sik010809.php
Si les effets positifs de la spiritualité (au sens non religieux) sur le bonheur des adolescents et des adultes sont avérés, aucune étude n’avait été révélée jusqu’à maintenant pour les enfants. C’est chose faite grâce aux équipes du Dr Ben Coleman et Judi Wallace de l’Université de Colombie Britannique. Ils viennent de démontrer que les enfants qui se disent plus spirituels sont plus heureux.
Cette spiritualité explique jusqu’à 27% des différences dans les niveaux de bonheur des enfants.
L’étude a été menée auprès de 320 enfants âgés de 8 à 12 ans avec une double perspective : celle des enfants et celle des parents.
Pour définir plus précisément la spiritualité :
Il s’agit ici d’une spiritualité personnelle (le sens et la valeur de sa propre vie) et communautaire (qualité et profondeur des rapports humains) plutôt que religieuse.
Notez que le tempérament de l’enfant intervient également dans ce bonheur ressenti. Les enfants plus sociaux et moins timides se disent plus heureux.
La religion a en revanche peu d’impact sur le bonheur.
Comment amplifier le phénomène de spiritualité personnelle ?
On rejoint les préceptes de la psychologie positive qui contribuent à donner du sens à la vie : l’expression de la gratitude et l‘altruisme.
A nous, parents, de faire office de guide et de montrer la voie. Après tout, ces méthodes participent aussi à notre bonheur.
Si les effets positifs de la spiritualité (au sens non religieux) sur le bonheur des adolescents et des adultes sont avérés, aucune étude n’avait été révélée jusqu’à maintenant pour les enfants. C’est chose faite grâce aux équipes du Dr Ben Coleman et Judi Wallace de l’Université de Colombie Britannique. Ils viennent de démontrer que les enfants qui se disent plus spirituels sont plus heureux.
Cette spiritualité explique jusqu’à 27% des différences dans les niveaux de bonheur des enfants.
L’étude a été menée auprès de 320 enfants âgés de 8 à 12 ans avec une double perspective : celle des enfants et celle des parents.
Pour définir plus précisément la spiritualité :
Il s’agit ici d’une spiritualité personnelle (le sens et la valeur de sa propre vie) et communautaire (qualité et profondeur des rapports humains) plutôt que religieuse.
Notez que le tempérament de l’enfant intervient également dans ce bonheur ressenti. Les enfants plus sociaux et moins timides se disent plus heureux.
La religion a en revanche peu d’impact sur le bonheur.
Comment amplifier le phénomène de spiritualité personnelle ?
On rejoint les préceptes de la psychologie positive qui contribuent à donner du sens à la vie : l’expression de la gratitude et l‘altruisme.
A nous, parents, de faire office de guide et de montrer la voie. Après tout, ces méthodes participent aussi à notre bonheur.
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